De la nécessité de détenir de l’or.

Par crainte d’assister à une nouvelle ruée vers les métaux précieux et tout particulièrement l’or, version 2012, il semblerait  que l’on veuille déclencher, sous les traits d’une provocation volontaire, une volatilité importante des cours de l’or.

A sa base, ce phénomène serait téléguidé par certains intérêts financiers.

Le dessein de ce subterfuge consisterait à faire peur aux investisseurs qui ne se trouveraient pas suffisamment  expérimentés, face à la complexité des marchés d’investissement.

Pourtant, il faut bien rappeler que l’acquisition personnelle et continuelle d’or physique demeure plus qu’une précaution, mais bien une forme d’obligation de tout premier plan.

Nous devons, dans l’état actuel du système économique, rechercher et exploiter toutes les dispositions nécessaires afin de protéger notre patrimoine.

Ce dernier appelle une vigilance soutenue pour ne pas tomber dans le tourbillon de cette épopée qui, selon toute vraisemblance, aboutira à un changement intégral du système monétaire mondial.

Devant un tel programme, nous ne pouvons que surenchérir sur l’opportunité d’acheter de l’or, lequel, jusqu’à preuve du contraire, s’inscrit toujours comme un placement anticrise.

Il est bon de rappeler que depuis le début de cette crise financière, le cours de l’or n’a vraiment pas démérité puisqu’il a été multiplié par 2,5 fois, en l’espace de cinq ans.

La chute de Lehman Brothers avait généré la méfiance sur tous les placements. Du coup, l’or a pu se requalifier comme valeur refuge.